Un coucou de Koh Kong

 

repas

 

Cet orphelinat est historique pour notre association puisqu’elle y intervient depuis de nombreuses années. Une délégation du bureau s’est rendue sur place, pour faire le point.

ETAT DES LIEUX

Comme toujours cet orphelinat qui comprenait 35 enfants mais seulement 23 aujourd’hui est tenu d’une manière remarquable par la seule Nounou sur place,THARY,employée par notre association que nous avons félicitée pour la propreté des enfants et des locaux.

A notre arrivée Thary nous a appris que l’association était maintenant « sous les ordres de la Fondation » mais que depuis plusieurs mois elle ne voyait plus personne de la Fondation dont les visites étaient rares.

Un nouveau personnage, inconnu de  notre association, est venu nous retrouver,Monsieur CHHENG HOUR, responsable du Ministère des Affaires Sociales pour toute la région (Deputy  Chief) qui nous a confirmé, à notre grande surprise, cette information.

La confusion était totale !

mr chheng hour et madame la gouverneurMonsieur Chheng Hour et madame la gouverneur.


kani +Mme gouverneur    Kanitha Brunet et madame la gouverneur

TRAVAIL EFFECTUE

Nous avons été dans l’obligation de reprendre le compte rendu de l’assemblée de septembre dernier et d’expliquer le changement de Présidence et de Conseil d’Administration et l’organisation d’une association en France.

Cinq heures de discussion pour expliquer la situation devant tous les officiels concernés se sont achevées sur: 

  • Reconnaissance de notre association par tous ces officiels
  • Autorisation de poursuivre notre action avec lettre de recommandation a la direction du Ministère des Affaires Sociales et vif remerciements, pour nos actions.
  • Etablissement d’un budget sur 3 ans dont celui du local d’études pour les enfants
  • Remerciements à Anne Marie BRUN notre ancienne Vice-Présidente qui a laissé un souvenir ému à tous ces Messieurs.
  • Invitation, en remerciements et reconnaissance, de Madame l’épouse du Gouverneur à participer, le lendemain, au repas annuel offert par son mari aux enfants.

 

CONCLUSION

Cette reconnaissance à notre égard nous a permis de demander et d’obtenir une collaboration totale entre nos deux organisations notamment l’arrêt de renvoyer sous des prétextes invraisemblables des enfants comme la petite Yole et sa fratrie. Les officiels Khmers nous ont dit ne pas avoir apprécié l’ingérence de notre ancienne présidente dans ce dossier.

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